Katy, une toute petite étoile parmi les millions d'autre.

Dernière édition par Katy Livingston le 28/11/2010, 20:23, édité 14 fois

Katy Lesly Livingston ; FEAT Kristen Dunst

Katy, une toute petite étoile parmi les millions d'autre. 665519151

Âge : 11 ans
Origine (né moldu, sang mêlée ou sang pur) : Née moldu
Baguette Magique : 22, 3 cm, bois de saule, contient un poil de licorne
Année et Maison/ Métier : 1ère année

Caractère: Katy... Un petit monde à part. Tantôt joyeuse, tantôt triste, tantôt agressive, tantôt serviable, difficile de suivre le rythme des humeurs d'une personne aussi lunatique. Oui, pour être lunatique, Katy l'est. Et pas qu'un peu, tant qu'à faire. Sur une simple pensée, un simple souvenir, l'humeur de la fillette peut passer du tout au tout. Ce qui, vous en conviendrez, et plutôt dérangeant. En effet, difficile de se lier d'amitié avec une personne dont les réactions sont pires qu'imprévisibles, qui peut vous sourire et l'instant d'après pleurer sur votre épaule. Pour faire court, Katy est tout simplement impossible à cerner, à moins de n'être doté d'un quelconque pouvoir d'empathie mêlé avec celui d'un médium, ou que sais-je encore.
La jeune fille est également horriblement timide. Elle n'est pas du tout du genre à aller vers les autres, à aborder quelqu'un, non non, elle aurait plutôt tendance à se cacher dans un coin pour que personne ne la remarque. Elle sait se faire petite, si petite que les gens en général ne remarquent même pas sa présence. D'ailleurs, son rêve le plus cher : "Habiter avec des Lillipuciens, ou tout du moins être de la même taille". Elle rougit très facilement, et a même tendance à bégayer. Il lui est donc carrément impossible de parler devant plus de trois personnes. Katy n'en a peut-être pas l'air -elle n'a l'air de rien du tout, pour tout vous dire-, mais elle souffre beaucoup de cette mise en retrait pourtant volontaire sur ses camarades. Peut-être la peur d'être ridicule en public, au milieu de sorciers car venant d'une famille de moldus et ayant reçu ses dons très tardivement, peut-être pour une autre raison, mais Katy n'est jamais à l'aise nulle part, et ne parle pratiquement pas.
La jeune fille pourrait être également qualifiée de "simplette". Car il n'est pas rare de l'entendre sortir des commentaires étranges, à voix basse, plus pour elle-même que pour les autres, d'être complètement hors sujet lors d'une discussion, de vous parler du temps qu'il fait quand vous lui demandez l'heure, d'avoir le regard complètement dans le vague, comme fixant quelque chose qu'elle seule aurait pu voir. Seulement, détrompez-vous, la santé mentale de Katy est parfaitement normale, bien que les élèves soient presque persuadés du contraire. Il ne s'agit que d'un masque, d'un côté de sa personnalité, mais si l'on regarde sous la surface, on peut y découvrir une jeune fille très intelligente, douce et sensible.

Apparence : Demandez-le à n'importe quel imbécile. La première chose qu'il verra, c'est sa taille. Minuscule. Toute frêle, toute maigre, toute mignonnette, si bien que l'on est presque tenté de l'agripper à n'importe quel souffle de vent, de peur de la voir s'envoler. Les regards convergent régulièrement vers la jeune fille, comme pour vérifier qu'elle est toujours là, à discuter avec vous. Sait-on jamais, peut-être aurait-elle pu disparaître, emportée au milieu des feuilles mortes par la moindre brise. D'ailleurs, personne n'a jamais osé porter la main sur elle. Katy donne en effet l'impression d'être aussi solide qu'une brindille, prête à se casser en deux pour un oui ou pour un non. Mais, qui nous dit que ce n'est pas le cas ? (Paradoxe ; elle aime le rugby).
Son visage aux traits fins ferait fondre n'importe quel garçon normalement constitué, et ce sans prétention. Ces traits lui donnent un air très féminin, et très mature pour son âge. Seulement, les délicates fossettes qui se creusent dans ses joues lorsqu'elle sourit, les rondeurs de l'enfance et le teint rosé rappellent que Katy n'a que onze petites années. Sa bouche aux lèvres minces est aussi rosée que quelques fleurs sauvages, et ses yeux en amande, d'un bleu froid, glacé, profond, feraient tourner la tête de plus d'une personne. Ses cheveux blonds, souvent noués, lui arrivent en cascade jusqu'au bas des épaules. La jeune Gryffondor regrette d'ailleurs le temps où, lorsqu’elle n'avait que quelques lorsque années -pas plus de cinq ans-, sa chevelure était d'un blond beaucoup plus clair, presque blond platine. C'est pour cela que, croyant avoir trouvé la solution à ce problème, Katy s'expose en permanence au soleil, dès qu'elle le peut, pour tenter d’éclaircir la couleur de sa toison. Mauvaise idée ? Tout à fait, car dès l'apparition de quelques rayons de soleil, la jeune fille est couverte de coups de soleil, sa peau très blanche ne supportant pas cet afflux massif d'UV.

Histoire : Imaginez une ville, sous la neige, le matin, en plein réveil. Le soleil à l'horizon, tout jaune, les lueurs qui baignent les immeubles, les bâtiments, et la fraîcheur que l'on ressent lorsqu'on arpente les rues. Les flocons qui tombent doucement des frêles branches d'arbre qui bordent les maisons des riches banlieues, et tout ce monde pressé, les voitures, les cyclistes, les piétons et autres qui semblent même aller au ralenti. Vous voyez le tableau, n'est-ce pas ? Hé bien cela n'a rien à voir avec Katy.
Ou tout du moins, indirectement.
Représentez-vous plutôt un jeune homme, vif, plein d'entrain, courant à travers les rues à une vitesse impressionnante. Il court à perdre haleine, sillonne les rues, les traverse sans prêter attention aux voitures qui menacent de l'écraser à chacun de ses pas. Il se fait klaxonner, mais qu'importe, les pneus de son vélo n'avaient qu'à pas l'abandonner lâchement quelques pâtés de maison plus tôt. Une crevaison est si vite arrivée... Et puis, il n'allait quand même pas prendre la peine de demander de l'aide, après tout, le temps c'est précieux.
C'est vrai, c'est pas tous les jours que sa femme est en train d'accoucher.
Oh, oui, certain vont dire qu'il n'a qu'à rester auprès de sa femme, puisqu'il l'aime tant. C'est son souhait le plus cher. Mais celui de son âme soeur, c'est d'avoir un médecin, alors bon, il pouvait bien lui accorder ça. Alors, d'autre dirons qu'il n'a qu'à prendre son téléphone et demander une ambulance. Hé ben non. C'est ça la campagne, et les lignes coupées suite aux pluies diluviennes, à la neige et au verglas. D'autre, encore, vont scander qu'il n'a qu'à prendre sa voiture. La bonne blague. Le temps de la décongeler, madame aurait eu le temps d'accoucher trois fois.
Mais appelons un chat un chat et une personne par son nom. Donc, l'ex-cycliste qui vient de bousiller son vélo, c'est Tyson Livingston. Et la femme enceinte, c'est Katleen ex-Ritter. Tous deux moldus depuis des générations et des générations... Rien ne laissait donc présager que Katleen allait mettre au monde une petite fille si particulière... Mais ne nous égarons pas et revenons à Tyson.
Trouver un hôpital lui fût laborieux, et d'ailleurs, lorsqu'il franchit les portes coulissantes, une vague de chaleur l’envahissant, le personnel pensa d'abord qu'il était venu pour lui-même, et se précipita avec un brancard. En effet, dans la précipitation, Tyson était tombé trois à quatre fois sur le verglas, glissant malencontreusement, mais bon, il allait quand même être papa, alors il avait laissé sa douleur de côté et s'était précipité. Le froid lui avait éclaté les lèvres, et le sang coulait sur son visage déjà rouge à cause de la température. Il était presque plié en deux, meurtri par l'intense effort qu'il lui avait été demandé de faire. Sans se poser de question, il bégaya quelques mots comme son adresse, et murmura qu'une femme les y attendait. Puis ce fut le trou noir, et Tyson s'évanouit.

Lorsqu'il se réveilla, il était sur un lit, dans une chambre. Il avait chaud, il était bien, mais il avait peur. Et sa femme ? Et son enfant ? Une infirmière se précipita sur lui, et commença les examens réglementaires. Enfin, elle voulut commencer. Tyson la repoussa violemment, plus violemment qu'il ne l'aurait voulu, mais le temps n'était pas aux excuses. Il se débarrassa des quelques fils qui l'entravaient, et toujours avec ces mêmes précipitations qui le qualifiaient désormais, courut chercher un médecin plus qualifié que l'infirmière qui aurait eu vent de l'affaire Livingston. Il fonça au bureau d'accueil et débita à toute vitesse le nom de Katleen Livingston. On le renvoya vers un médecin, qui le renvoya de nouveau vers l'accueil, qui le renvoya attendre près d'un bloc opératoire. Et là ce fut l'attente... L'attente interminable, qui laisse penser qu'il s'est écoulé trois heures en l'espace de trois minutes. L'attente où on maudit le fichu inventeur de l'affreuse pendule qui reste, les aiguilles comme figées, au dessus de des portes battantes. L'attente qui est toujours de mauvais augure, et qui n'annonce jamais des bonnes nouvelles. L'attente que l'on peut très facilement s'imaginer grâce aux séries TV. L'attente qui...

- Monsieur...
- Madame... Ma femme... Mon bébé... Ma femme... Qu'est-ce...
- Monsieur... Votre femme est décédée pendant l'accouchement.

L'attente qui prend fin de façon radicale. Cette annonce fit l'effet d'une bombe sur Tyson. Il pensa d'abord à renier l'enfant, qui lui avait volé Katleen. Il sortit de l'hôpital, chancelant, sans même entendre les cris du personnel qui lui sommait de revenir, de prendre sa fille dans ses bras. Il songea à ce qu'il allait faire sans Katleen. Il songea à son avenir, et son avenir, il le voyait sans enfants. Sa fille venait de lui prendre sa femme, celle qu'il aimait plus que n'importe qui... Quel homme peut accepter pareil échange ? Ce Dieu, s'il existait, et bien il le maudissait. Si ça fonctionnait comme ça, une vie en échange d'une autre, lui allait mettre fin à la sienne. Il allait, il ne savait pas trop où, il ne savait pas trop pourquoi. Il avançait, la tête pleine de pensées noires, des pensées glauques, des pensées terribles.

- Désolée.

Une jeune femme venait de le heurter, et s'était excusée dans la précipitation. Tyson se retourna, et vit qu'elle tenait dans sa main celle de son enfant, un tout petit enfant, qui ne devait pas avoir plus de quatre ou cinq ans. Elle se dirigeait vraisemblablement vers une école, une crèche où tout autre chose pour y déposer son fils. Et c'est à ce moment, à cet instant que le jeune homme compris. Non, il n'allait pas mettre fin à ses jours. Non, il n'allait pas laisser sa fille toute seule, il allait la récupérer, l'élever, être un père exemplaire. Non, il ne regrettait pas ce jour, car Katleen et lui l'avaient attendu neuf mois avec impatience. Non, il n'allait pas être lâche, il allait relever la tête, parce que sa femme s'était sacrifiée pour cet enfant. Non, il ne tournerait pas le dos, car c'est ce que Katleen aurait voulu. Non ! Ils s'étaient jurés une fidélité pour le meilleur comme pour le pire, hélas, le pire était arrivé, mais ce n'était pas une raison pour tout foutre en l'air. Oui... Katleen aurait fait une mère exemplaire, et il devait lui prouver, où qu'elle fut, qu'il pouvait en faire autant.

Onze ans plus tard

Il l'avait appelé Katy. En l'honneur de Katleen, évidemment, inutile de le préciser.
Pour une raison presque inconnue, il lui avait toujours caché cette vérité. Peut-être parce que le temps n'avait pas guéri toutes les blessures, et que, même après onze années écoulées, il lui en voulait toujours un peu du décès de sa femme. La petite ignorait encore en quelles circonstances sa mère s'était éteinte. Elle ne connaissait pas même la date exacte de sa naissance. C'était comme si ce jour avait dû être rayé du calendrier. Enfin, elle était née en hiver, ça elle le savait. L'hôpital avait obligatoirement relevé la date, mais peu importe, il avait été convenu que Katy était née le 18 décembre.
Son père, fidèle à la promesse qu'il s'était faite quelques années auparavant, avait toujours été quelqu'un d'exemplaire. Sa fille, qu'il avait jugée trop renfermée, n'allait pas à l'école. Tyson avait engagé un professeur particulier et sa fille faisait des merveilles, connaissant les Sept Merveilles du Monde à l'âge six ans, ayant lu "Le Petit Prince" à l'âge de sept, apprenant le piano à huit, et quelques autres prodiges chaque année. Il avait de quoi être fier... Jusqu'à un jour qui avait tout fait basculer.

Quelques temps après le début des vacances, en juillet, Katy sirotait un diabolo menthe, sa boisson favorite, sur la terrasse de sa maison. Elle pouvait enfin se lever à dix heures si ça la chantait, se promener toute la journée si l'envie la prenait, observer les insectes qui l’intriguaient, se plonger dans un livre sans être coupée. C'était la belle vie. Elle n'avait plus qu'à songer au moment présent, et rien d'autre. Après tout, pourquoi s'en faire ? Pour la rentrée, il n'était pas prévu qu'elle entre au collège. Elle allait continuer à suivre les cours de l'homme qui lui enseignait depuis des années, monsieur Wiggins.
Enfin. Katy, depuis sa terrasse, observait le champ accolé au bout de terrain qu'ils possédaient. Les épis de maïs avaient tellement poussé depuis les vacances qu'ils étaient encore plus grands que Katy. Elle aurait facilement pu s'y perdre en moins de temps qu'il n'en faudrait pour le dire.
Poussé par son seul instinct, Katy sauta au dessus de la barrière qui délimitait les terrains et pénétra dans le champ.
L'atmosphère était tout autre. Autant le ciel était clair et rayonnant autant le champ ne laissait pas passer toute la lumière, donnant un ensemble étrange à la scène. Et puis, bien qu'il devait être plein de pesticides, on sentait pourtant clairement la vie grouiller, sous la terre ou sur les pousses. Katy s’enfonça un peu plus, écartant les épis sur son passage. Elle devait bien avoir parcouru une centaine de mètres lorsqu'elle entendit quelque chose de bien plus gros qu'un stupide insecte s'avancer. Et peut-être bien quelque chose de dangereux. La fillette sentit clairement son pouls s’accélérer au fur et à mesure de ses pas. Le bruit se rapprochait, et elle n'avait qu'une branche ramassée sur le sol pour se défendre. Léger ? Pas face à un lapin. Oui, ce n'était qu'un lapin, tout de même assez conséquent de masse corporelle, mais rien plus inoffensif que le lapin. D'ailleurs, c'était à se demander qui avait le plus peur de l'autre.
Katy, que l'animal avait fait stresser, ou le lapin, que cette géante venait incommoder ? Géante ? Oui. Pendant la panique, Katy avait doublé de volume. Au sens propre du terme. La fillette avait enflé, tellement enflé que ses habits se déchiraient ça et là. La petite fille d'à peine vingt-cinq kilos venait subitement prendre au moins son propre poids sur les épaules, et avoisinait, à première vue, les cinquante kilos. Katy s'était calmée. Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsque, en essayant de se mouvoir, elle pris conscience de ce qui lui arrivait ? Son état était indescriptible. C'était comme de la panique mêlée au dégoût, de la crainte avec cet espèce de vide que ressentent parfois les gens. Comme si son coeur s'arrêtait de battre à échéance régulière.
Katy s'empressa de rentrer chez elle. Tyson et Monsieur Wiggins, qui échangeaient quelques mots autour d'un thé, furent même proches de la crise cardiaque lorsqu'il aperçurent Katy déplacer non sans peine sa nouvelle morphologie dans le jardin pour retrouver sa maison, et constater elle-même l’ampleur des dégâts. La discrétion, c'était pas encore ça. Elle se dandina pour regagner sa chambre, monta à l'étage, et sur le miroir, elle vit... son apparence habituelle. Elle aurait pu croire à un moment d'égarement, une absence qui lui aurait fait perdre un peu la boule, mais voilà, les loques de ses vêtements l'en empêchaient. Elle se changea rapidement, mais, trop tard, les adultes avaient déjà débarqué dans sa chambre. Là, ce fût étrange. Tyson et Wiggins échangèrent un rapide regard, interloqués, éberlués. Non, ils n'avaient pas rêvé, et quand bien même ils auraient rêvé, la coïncidence d'avoir vu la même chose au même moment sonnait faux. Katy, elle aussi, les regarda, une lueur d'inquiétude dans les yeux. Faute de preuve, on supposa une effluve de gaz qui leur aurait tous fait halluciner. Katy ne se fit même pas disputer pour être allée dans le champ, c'était dire.
Et puis, vient cette lettre... Cette fameuse lettre que tout le monde connait. Tyson, en apportant le courrier, fût un peu surpris au début. C'est vrai, qui écrirait à sa fille, elle qui n'avait de contacts qu'avec son professeur ? Et puis, en bon père compréhensif qu'il était, donna tout de suite l'enveloppe à sa fille. Cette dernière parut aussi surprise que son géniteur. Son expression de stupeur grandit d'autant plus lorsqu'elle lut :

Vous êtes inscrite à l'école de sorcellerie Poudlard...

Bon. Pourquoi pas. Les publicitaires, vraiment, ils ne savaient plus quoi inventer. La lettre termina au fin fond de la corbeille à papier et la vie reprit son cours normal. Cependant, le soir, alors qu'elle était dans son lit, quelque chose gêna Katy... Et si c'était vrai ? Après tout, ils avaient tout été témoins de ce qui pouvait s'apparenter à un acte de magie. Mais comment ? Elle ? Oh, et puis non. Son père lui avait toujours reproché de vivre dans un autre monde que la réalité. Il fallait qu'elle grandisse !
Le lendemain, le doute n'était plus permis lorsqu'elle reçu une lettre semblable à la précédente. D'un côté, Katy ressentait sa "nouvelle nature" comme une évidence, comme si au fond d'elle même, elle l'avait toujours su, comme si elle se révélait maintenant au monde entier... Ou à sa famille, ce qui n'était déjà pas rien.
Et, à force de persévérance, d'efforts de volonté de la part de Tyson (qui la prenait désormais pour une hérétique), Katy s'était retrouvée, le 1er septembre, dans un train, puis dans un dortoir. Elle ne comprenait pas grand chose, si ce n'était rien à ce qui lui arrivait, mais cela ne pouvait être que le début d'une belle histoire...

Vous

Prénom ou pseudo : Je suis le DC de Kerry ^_^
Âge : 15 ans, donc ♫
Comment avez vous découvert le forum ? CF fiche de Kerry xD
Code : [...], si je me souviens bien... Validé par Angèle.

Bienvenue à toi DC de Kerry =)

J'aime toujours autant tes idées, ton imagination... Un plaisir de lire ce début de fiche déjà prometteur.
Avide de lire la suite Wink

Bonne continuation.

Bienvenue à Poudlard Very Happy

Je crois que j'ai mis 15minutes pour tout lire (bobo les yeux avec ces petites lignes noires sur fond bleu) mais je peux affirmer que j'ai réellement adoré ce que j'ai lu !!!
Encore une fois je ne peux que saluer ton talent pour l'écriture. Je n'en reviens toujours pas qu'un aussi petit forum que le mien puisse compter parmi ses membres une RPGiste telle que toi (sans vouloir dénigrer les autres cela va sans dire!!)

Présentation validée donc =)

Là c'est moi qui suis touchée par le compliment =)
C'est vrai que j'ai la chance d'avoir une équipe d'enfer qui est plus que sympathique (des ptits fous ^^) Et je suis contente que tu en fasse partie Wink

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