Une visite surprise

Lili regarda sa belle mère entrain de questionner le pauvre Enzo sur ses cours, sur sa soit disante petite amie...

Elle fit passer le plat de pomme de terre à Scorpius mais celui ci lui demanda si elle l'avait dit à Enzo.

-Non, il n'est pas encore au courant.

Elle regarda leur petit frère se goinfrer comme 4 et elle rigola.
Pour sa Enzo et Scorpius étaient les mêmes.

-Je pense qu'on lui dira après, la il est trop occuper avec ta mère.

Lili se servit elle aussi quand Drago lui passa le plat de viande.

Lili rigola à la remarque de son mari et de son frère.

-C'est votre mère qu'il faut féliciter.
Elle a pratiquement tout fait...

Elle fit un grand sourire à Astoria. Passer un peu de temps avec sa belle mère lui faisait plaisir. Sa lui rapellait les moments qu'elle passait avec sa propre mère.

Elle soupira et posa sa main sur son ventre.
Tout ce qu'elle voulait c'était que leur enfant vive heureux et qu'il n'est pas à endurer ce que Scorpius ou elle avait put endurer.

-En tout cas je suis heureuse qu'on soit tous réunit.
Et...Enzo, on à un truc à t'annoncer....

Scorpius leva les yeux aux ciel.
"croit moi sa fait longtemps que je le sais"

Il donna quand même une tape a son frère pour la forme, mais a parament il sen fichait.

A la dérgniére remarque du mioche Scorpius fit de gros yeux, il tennait vraiment a raister en vie?

Astoria, elle, perdit son sourire et quand c'était la cas sa vouler dirent qu'elle était en colère, bizarement le faite qu'elle ne crit pas dans ce cas la fesait encore plus peur...
-Enzo! Je ne croit pas t'avoir élever pour dire des bétise pareille a une femme enceinte!

Réaction écsésive? Solidariter féminine? Ou encore colère légitime? Drago ésiter...

Lili ne dit rien à la remarque d'Enzo. D'un côté il n'avait pas tord, dans quelques mois elle deviendrait énorme.

Les choses s'enchainèrent alors très vite. Ce fut d'abord Enzo qui quitta l'appartement puis les parents de son mari.

Lili se retrouva d'abord dans les bras d'Astoria puis de Drago.

Elle leur fit un signe de la main.

-A bientôt.

Quand Scorpius ferma la porte elle le regarda et rigola.

-Tu n'en peux plus... ? C'est dommage, j'avais prévu une petite surprise mais je ne voudrais pas t'empécher de dormir...

Elle l'embrassa sur la joue et alla débarrasser la table.

Quand disait-elle ? Ba rie comme d'habitude. Elle n'avait pas le choix de toute façon.

Elle haussa les épaules et se défit de l'étreinte de Scorpius.
Depuis qu'il avait reprit l'entrainement il rentré épuisé et n'avait plus aucune seconde pour elle.

Il avait reprit le travail Lundi et aujourd'hui nous étions Jeudi. Sa faisait 5 jours qu'elle ne disait rien et elle ne dirait rien. Elle ne voulait pas se disputer une nouvelle fois avec lui.

-Je ne t'accompagne pas, tu connais le chemin de la chambre.

Elle avait laisser sortir cette phrase sans même le vouloir mais sa faisait presque une semaine qu'elle se sentait délaisser par son époux.
Qu'est ce qu'elle pouvait hair le quidditch, surtout quand ce moment la coupe du monde n'était plus très loin.

Elle regarda la table maintenant propre et soupira.

Elle ne regarda même pas Scorpius et alla prendre un livre pour aller lire sur le canapé, retenant son envie de hurler et de pleurer.

Scorpius allait dire quelque chose mais il ne finit pas sa phrase.

Alors elle prit une grande bouffé d'air.

-Si le quidditch est tellement important pour toi je peux le comprendre. Mais tu ne devrait pas oublier que tu as une femme et bientôt un enfant.

C'était elle qui l'avait voulut principalement et maintenant elle commençait à regrettait. Si c'était pour passer la grossesse toute seule, et que le petit ne voit jamais son père à quoi bon...

-J'ai l'impression de me battre contre ton stupide balais pour te garder près de moi et à voir j'ai échouer. Tu préfére passer ton temps sur le terrain plutot qu'avec moi. J'ai l'impression d'être la deuxième femme d'un homme qui n'a d'yeux que pour la première.
Je n'ai pas la force de me battre Scorpius, je suis épuisé par tout sa.

Elle se cacha son visage dans ses mains, honteuse d'avoir dit ce qu'elle avait sur le coeur.

Lili le regarda et essuya ses larmes.

-Je suis fière de toi mon coeur.
Mais on a plus une minute à nous.

Elle s'approcha de lui car il s'était reculé. Elle le serra contre elle en respira son odeur.

-Serre moi fort... Je t'en prit... Lui murmura t-elle.

Elle avait peur d une chose, que scorpius ne soit pap présent pour tout les moments de la grossesse et encore pire pour l'accouchement.

Elle n'osait meme pas lui demandé s'il aurait son week end, redoutant la réponse.

Lili n'était pas très sur de ce qu'elle venait d'entendre...Il était près à arrêter sa carrière juste pour elle ! Non, jamais elle ne lui demanderait une chose pareil, jouer dans une équipe professionnelle avait toujours était le rêve de son mari et elle ne pouvait pas lui enlever sa, surtout que lui lui avait offert son plus beau rêve, avoir un enfant...

Elle releva la tête et lui dit :

-Je ne veux pas que tu arrêtes ta carrière pour moi, je voudrais juste que tu sois plus présent. Tu pars le matin on ne ce voit pas, et le soir quand tu rentres tu es trop fatigué pour quoi que ce soit...

Parfois Lili se disait que Scorpius aurait été mieux sans elle. Il aurait put vivre sa passion à fond. La tout ce qu'elle faisait c'était le ralentir et essayer de le retenir auprès d'elle.
C'était égoiste de sa part... Elle devrait au contraire être heureuse pour lui mais non, tout ce qu'elle ressentait c'était de la peine, de la solitude et de l'abandon, oui elle ce sentait abandonné par son mari.

Lili ferma les yeux un instant, sentant la main de son mari sur son ventre et ses lèvres sur sa joue.
Elle plongea finalement son regard azur dans celui acier de son époux.

-Tu me jures qu'après la coupe tu seras plus souvent à la maison ?

C'était peu être trop demander...Peut être qu'après la coupe il devrait s'entrainer toujours autant. Mais après la coupe Lili en serait à son 5ème mois de grossesse et elle aurait besoin de lui autant pour l'aider que pour son moral. S'il était toujours absent comme sa elle finirait par faire une dépression, sur et certain.

-Si tu ne peux pas tenir cette promesse ne la fait pas, je n'ai pas envie d'avoir de faux espoirs...

Elle préférait qu'il lui dise la vérité plutot qu'un mensonge qui finirait tot ou tard par lui faire encore plus de mal que la vérité.

-Moi aussi je veux le meilleur pour lui...ou pour elle...

Elle l'embrassa tendrement et s'éloigna de lui.

-Sa te dit qu'on aille se coucher ?
Demain tu doit te lever tôt je présume...